Présidentielle 2025 en Côte d’Ivoire : À Bouaké, Simone Gbagbo rompt avec le boycott et appelle à la mobilisation générale.

Présidentielle 2025 en Côte d’Ivoire : À Bouaké, Simone Gbagbo rompt avec le boycott et appelle à la mobilisation générale.

Présidentielle 2025 en Côte d’Ivoire : À Bouaké, Simone Gbagbo rompt avec le boycott et appelle à la mobilisation générale.

Un documentaire de Agence Presse Audio


La campagne présidentielle a connu un moment fort le jeudi 16 octobre 2025, avec le passage de la candidate du Mouvement des générations capables (MGC), Dr Simone Ehivet Gbagbo, dans la capitale du Gbêkê.

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17 Octobre 2025


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La campagne présidentielle a connu un moment fort le jeudi 16 octobre 2025, avec le passage de la candidate du Mouvement des générations capables (MGC), Dr Simone Ehivet Gbagbo, dans la capitale du Gbêkê. Devant ses militants et sympathisants massés sur l’esplanade du Centre culturel de Bouaké, l’ancienne Première dame a rejeté avec fermeté la stratégie du boycott des élections.

Dans un discours dynamique, elle s’est présentée comme l’« alternative crédible » indispensable pour guider le peuple ivoirien vers de nouveaux horizons. Son message est clair : l’heure est à la participation et à la prise de responsabilité.

Écoutons la candidate du MGC exposer les raisons pour lesquelles elle rejette le boycott et appelle à une mobilisation massive dans les urnes :

Ponctué de chants et de danses à la gloire de la candidate, le rassemblement a pris par moments des allures de véritable fête populaire, témoignant de l’engouement de ses partisans à Bouaké.

En s’opposant explicitement à la stratégie du boycott qui a pu diviser une partie de l’opposition par le passé, Simone Gbagbo envoie un signal fort à l’électorat : celui d’une femme résolue à prendre part au jeu démocratique jusqu’au bout.

À Bouaké, son appel à la mobilisation dessine une tentative de réconcilier les urnes et la contestation, positionnant le MGC comme la seule force capable d’offrir une porte de sortie par le vote à ceux qui doutaient de l’utilité du processus électoral.

 

Texte et voix : Sam Rivers