CINEMA/FESPACO 2025, levée de rideau le 22 février 2025 à Ouagadougou

CINEMA/FESPACO 2025, levée de rideau le 22 février 2025 à Ouagadougou

CINEMA/FESPACO 2025, levée de rideau le 22 février 2025 à Ouagadougou

Un documentaire de Agence Presse Audio


​​​​​​​À l’approche du FESPACO 2025, qui se tiendra du 22 février au 01 mars à Ouagadougou, le président du comité d’organisation

1:39 Ecouter

Un documentaire de

Agence Presse Audio


Mise en ligne

21 Février 2025


Réalisation

Agence Presse Audio


Mise en onde & mix

Agence Presse Audio


Illustration

Agence Presse Audio


Production

Agence Presse Audio

À l’approche du FESPACO 2025, qui se tiendra du 22 février au 01 mars à Ouagadougou, le président du comité d’organisation, Bètamou Fidèle Aymar Tamini, a assuré que toutes les mesures étaient prises pour garantir son succès.

 Le thème de cette édition, Cinémas d'Afrique et identités culturelles, reflète la situation actuelle du Burkina Faso, marqué par une crise sécuritaire, et met en avant la diversité et la cohésion culturelles à travers le cinéma africain.

Avec plus de 1300 films enregistrés et 230 sélectionnés, l'événement suscite un grand intérêt. Malgré des défis financiers, l’État et le secteur privé soutiennent activement le festival. Le Tchad est le pays invité d’honneur, soulignant les liens culturels avec le Burkina Faso.

Parmi les nouveautés, une plateforme digitale a été créée en collaboration avec Ligdicash pour faciliter l’achat de billets et l’accès aux différents sites du festival. Le nombre de pays participants a augmenté, passant de 35 en 2023 à 48 cette année, avec une augmentation de 12,53 % du nombre de films visionnés.

La cérémonie d’ouverture promet un spectacle grandiose dirigé par Aristide Tarnagda, et des mesures de sécurité renforcées sont mises en place.

 La Côte d'Ivoire sera bien représentée avec huit films en compétition, affirmant son rôle majeur dans le cinéma africain avec des œuvres variées telles que Loin de moi la colère (documentaire) et Niabla (Fespaco Séries).

Cette édition s'annonce donc comme un véritable point culminant pour le cinéma africain.

 

Texte et récit : Silvere BOSSIEI