Cinéma / Clap de fin de la 17e édition du Festival Lumière à Lyon : Michael Mann couronné du Prix Lumière 2025
Cinéma / Clap de fin de la 17e édition du Festival Lumière à Lyon : Michael Mann couronné du Prix Lumière 2025
Un documentaire de Agence Presse Audio
Des salles combles, des émotions partagées, des rencontres inspirantes et, surtout, le même amour intact du septième art : la 17e édition du Festival Lumière de Lyon s’est achevée en beauté.
Un documentaire de
Agence Presse Audio
Mise en ligne
21 Octobre 2025
Réalisation
Agence Presse Audio
Mise en onde & mix
Agence Presse Audio
Illustration
Agence Presse Audio
Production
Agence Presse Audio
Des salles combles, des émotions partagées, des rencontres inspirantes et, surtout, le même amour intact du septième art : la 17e édition du Festival Lumière de Lyon s’est achevée en beauté. Du 11 au 19 octobre 2025, la capitale des Gaules a vibré au rythme du cinéma mondial. Une pluie d’étoiles a illuminé les projections et les rencontres, parmi lesquelles la présence remarquée de Natalie Portman, dont la simplicité et l’élégance ont conquis le public lyonnais.
L’événement s’est ouvert le samedi 11 octobre à la Halle Tony Garnier, sur le traditionnel tapis rouge. Sous la houlette de Thierry Frémaux, directeur du festival, Jeremy Allen White et une pléiade d’invités prestigieux ont donné le coup d’envoi d’une édition qui, chaque année, confirme le rayonnement international du Festival Lumière.
Moment fort de la cérémonie : l’hommage rendu aux équipes de l’Institut Lumière et aux bénévoles, salués par une ovation du public. Puis vint l’instant tant attendu : l’annonce du Prix Lumière 2025, décerné au réalisateur américain Michael Mann, maître du cinéma contemporain et auteur d’une œuvre exigeante, entre lyrisme visuel et puissance narrative.
De “Heat” à “Collateral”, en passant par “The Insider” ou “Miami Vice”, Michael Mann a su marier rigueur artistique et grand spectacle, dirigeant des légendes telles qu’Al Pacino, Robert De Niro, Tom Cruise, James Caan ou Gong Li. Ému, le cinéaste a remercié le public lyonnais pour cet honneur : « En quarante ans, rien n’a changé dans mon impulsion à faire du cinéma », a-t-il confié. « Quand je repense à tout ce qui m’a façonné, la musique — Presley, Chuck Berry — revient toujours en premier. Mon père, venu en France pendant la Seconde Guerre mondiale pour combattre, serait très heureux d’être parmi nous ce soir. »
Ainsi s’achève une édition placée sous le signe de la transmission, de la mémoire et de la passion, confirmant Lyon comme l’un des cœurs battants du cinéma mondial.
Texte et récit : Marie-Paule N'GUESSAN



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