Education : le CEPENSCI-DIGNITE se dit satisfait du suivi du mot d’ordre de grève par les enseignants

Education : le CEPENSCI-DIGNITE se dit satisfait du suivi du mot d’ordre de grève par les enseignants

Education : le CEPENSCI-DIGNITE se dit satisfait du suivi du mot d’ordre de grève par les enseignants

Un documentaire de Agence Presse Radio


Le samedi 14 septembre 2024, lors de l’Assemblée générale de l’Intersyndicale du ministère de l'Éducation nationale et de l’alphabétisation (IS-MENA)

4:23 Ecouter

Un documentaire de

Agence Presse Radio


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16 Octobre 2024


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Production

Agence Presse Radio

Le samedi 14 septembre 2024, lors de l’Assemblée générale de l’Intersyndicale du ministère de l'Éducation nationale et de l’alphabétisation (IS-MENA), une grève a été annoncée, visant à obtenir l’octroi de primes pour les enseignants. Ce mouvement a officiellement débuté le mardi 15 octobre et se poursuivra jusqu’au 17 octobre 2024, concernant un grand nombre d’enseignants à travers le pays.
Au cours d’un entretien accordé à l’Agence presse radio et audio (APRA) le mercredi 16 octobre 2024, David Bly Blé, le président de la centrale professionnelle de l’enseignement de Côte d’Ivoire (CEPENSCI-DIGNITE), porte-parole des faîtières syndicales des ministères de l'éducation nationale et de l'alphabétisation de l'enseignement technique, de la formation professionnelle et de l'apprentissage s’est réjoui du fait que mot d’ordre de grève a été largement suivie, avec de nombreuses écoles fermées ou fonctionnant au ralenti.
Il fait ici le point.

David Bly Blé, le président de la CEPENSCI-DIGNITE, soutient que ces primes sont indispensables pour améliorer la motivation et le bien-être des enseignants, ce qui aurait des répercussions positives sur la qualité de l’enseignement.
Il revient sur ce qui à créer la motivation autour de ce mot d’ordre de grève.

Pour le président de la CEPENSCI-DIGNITE, les faîtières syndicales ne sont pas fermées aux discussions si certaines restrictions sont levées.

Cette grève aura certainement des répercussions sur le calendrier scolaire, les discussions entre les représentants syndicaux et les autorités sont plus que nécessaire, afin d'initier un dialogue constructif et de trouver des solutions aux revendications formulées pour le bien-être de l’école ivoirienne.

Texte et voix : Silvere BOSSIEI