MATCA : Un nouveau souffle salué par les sociétaires

MATCA : Un nouveau souffle salué par les sociétaires

MATCA : Un nouveau souffle salué par les sociétaires

Un documentaire de Agence Presse Radio


À peine 48 heures après la nomination de Séri Kanon au poste de directeur général de la Mutuelle d’assurance des taxis compteurs d’Abidjan (MATCA)

2:50 Ecouter

Un documentaire de

Agence Presse Radio


Mise en ligne

23 Avril 2025


Réalisation

Agence Presse Radio


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Agence Presse Radio


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Agence Presse Radio


Production

Agence Presse Radio

À peine 48 heures après la nomination de Séri Kanon au poste de directeur général de la Mutuelle d’assurance des taxis compteurs d’Abidjan (MATCA), en remplacement de l’ex-DG Elie Guédou Ousmane, le climat semble s’éclaircir au sein de l’institution. Face à une crise qui perdure depuis plusieurs mois, le Collectif des sociétaires se réjouit de cette décision qu’il juge salvatrice.
Réunis le lundi 21 avril au siège du Haut Conseil des Transporteurs Routiers de Côte d’Ivoire, à Abidjan, Treichville, les membres du collectif ont exprimé leur soulagement et leur espoir de voir enfin la MATCA retrouver sa stabilité.
Hamed Bassim, Secrétaire Général du Collectif des Sociétaires, a ouvert la rencontre en saluant cette nouvelle dynamique.
On l’écoute
Prenant la parole à son tour, Diaby Brahima, directeur général du Haut Conseil des Transporteurs Routiers de Côte d’Ivoire, a tenu à rassurer les sociétaires inquiets de l’avenir de leur mutuelle 
Ecoutons Diaby Brahima
Cette rencontre, marquée par un esprit de solidarité et d’engagement collectif, redonne espoir aux sociétaires, convaincus que la MATCA peut retrouver sa grandeur grâce à une gestion rigoureuse et participative.
Autrefois forte de 26.000 taxis compteurs, la MATCA ne recense plus que 6.000 véhicules aujourd’hui, sans doute fragilisée par la montée des voitures de transport avec chauffeur (VTC) et une gouvernance que semble critiquée une partie des sociétaire, une situation qui place Séri Kanon face à de lourdes attentes.
Texte et récit : Silvere BOSSIEI