C’est un secret de polichinelle que l’organisation du traité de l’atlantique nord (OTAN) soutient l’Ukraine depuis le déclanchement de la guerre le 24 février 2022.

En juin 2023, le chef du Kremlin Vladimir Poutine semble changer de fusil d’épaule. Il veut s’en prendre aux pays occidentaux desquels partent les soutiens ukrainiens pour atteindre la Russie.

En entendant cette déclaration, on est en droit de se demander si Poutine envisage attaquer l’OTAN, vue que le plus gros soutien de l’Ukraine vient de cette organisation occidentale. Cette nouvelle position, Kremlin l’envisage à un moment fatidique où il est accusé d’utiliser des dauphins-espions dans le port de Sébastopol (ville située dans le sud-ouest de la péninsule de Crimée) pour détecter des plongeurs de combat ukrainiens. Des animaux capables de donner l'alerte :  en cas d'intrusion ennemie, un signal sonore retentit, et est immédiatement identifié en surface par l'armée russe.

Pour revenir, si l’option d’attaquer les soutiens occidentaux de l’Ukraine est retenue, il a à craindre que le conflit qui, jusque-là se passe sur le territoire se propage et atteigne des proportions inattendues peu maitrisables.

On se souvient que la première mondiale était juste un conflit entre la France et l’Allemagne. De soutiens à alliés, le monde s’est retrouvé dans cette guerre qui a commencé entre deux pays.

Lorsqu’on sait que l’OTAN c’est douze pays d'Europe et d'Amérique du Nord et qu’eux aussi disposent d’armes sophistiqués, la sonnette d’alarme doit être tirée. L’ONU et toutes les organisations de paix et de recherche de paix devraient se saisir de cette escalade de violence qui se prépare sous tous les yeux.

Texte : SACRE Abel

Voix : Kramo