Les violences basées sur le genre sont une maltraitance du fait du sexe. Ces méfaits sont parfois négligés ou ignorés par les personnes sujettes à ces brutalités.

Dans bien des cas dans nos pays, c’est le règlement à l’amiable entre les parties qui est proposé. Depuis le mercredi 18 mai 2022, le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH) a pris des mesures pour faire disparaitre ces méfaits et ses conséquences de la Côte d’Ivoire. « 79 cas de VBG dont : 25 cas de viol, 22 cas de violences physiques, 15 cas de violences psychologiques, 14 cas de violences conjugales, 3 cas de mariages forcés. » C’est le point des VBG en Côte d’Ivoire selon la présidente du CNDH, Namizata Sangaré du 1er novembre 2021 au 30 mars 2022.   

C’est à Yamoussoukro (la capitale politique) qu’a eu lieu un atelier pour la sensibilisation des rois et chefs traditionnels de Côte d’Ivoire dont le guide était sa majesté Tanoé Amon Désiré, Roi des N’Zima-Kotoko (ethnie du sud de la Côte d’Ivoire).

Texte : Sacré Abel et Diabaté Koro(Stagiaire)

Voix : Charles K.