Le mercredi 29 mai 2024 dès 7 heures du matin, plus de 23 000 bureaux ont ouvert pour permettre à près de 27 millions d’électeurs de choisir leurs parlementaires (qui éliront ensuite un président, et leurs conseillers régionaux).
Une élection qui pourrait représenter un tournant pour le pays, si le Congrès National Africain (ANC) venait à perdre sa majorité absolue à l’Assemblée nationale, comme le prévoient les sondages.
Dans son bureau de vote à Soweto, Joseph Mamago exaspéré par le chômage massif, le taux de criminalité record espère un changement.

Selon des sondages, l’ANC pourrait perdre ces élections cruciales en raison de plusieurs facteurs ; ce qui n’est pas de l’avis de Matamela Cyril Ramaphosa, membre du parti et président de la république d’Afrique du Sud.

Le décompte des législatives devrait être en cours jeudi 30 en Afrique du Sud.
 

Texte et voix : Silvère BOSSIEI