La 34 édition de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) organisée en Côte d’Ivoire, dénommée la ‘’CAN’’ de l’hospitalité’’ a été également celle de l’unité nationale.
L’organisation de la CAN, comme tout œuvre humaine a connu quelques ratés, mais dans l’ensemble, elle a été une réussite qui a eu le mérite de faire oublier un tant soit peu la politique et rassembler les filles et fils du pays autour d’un même idéal : la défense du drapeau national.
 Il a été remarqué que lors de cette compétition, les Ivoiriens sont restés soudés comme un seul homme à soutenir l’équipe nationale.

Aucune différenciation d’ethnies, de religions, encore moins de classes sociales n’a été observée. Pour paraphraser le président de la république Alassane Ouattara, « il faut organiser la CAN chaque mois en Côte d’Ivoire afin que nous restions unis… »  
Le football est un facteur de rassemblement. Ainsi, l’équipe nationale de la Côte d’Ivoire symbolise bien cette unité nationale, en ce qu’elle a en son sein, des joueurs de toutes les régions du pays.  Un peu comme le stipule si bien le capitaine Max-Alain Gradel.

Du 13 janvier au 11 février 2024, nous avons pu observer une vraie fraternité entre les peuples de toutes les régions de la Côte d’Ivoire. Que ce soit les leaders des partis politiques comme la société civile, tous étaient en prière dans le but de pousser l’équipe nationale à la victoire. Cette compétition footballistique a la magie de favoriser une véritable union entre les enfants du même pays.
Le ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture et du développement rural, Kobenan Kouassi Adjoumani revient sur cette cohésion créée par le football

Même la population a remarqué l’union apportée par la fête du football en terre ivoirienne.

Il est bon de garder cette flamme d’union qui brûle dans le cœur de l’Homme ivoirien, passé l’éphorie de la victoire…le pays en a besoin.

Texte : Minata T. DEMBELE (stagiaire)

Voix : Silvere BOSSIEI