COP16 : 21,5 milliards de dollars pour lutter contre la sécheresse

COP16 : 21,5 milliards de dollars pour lutter contre la sécheresse
Un documentaire de Agence Presse Radio
Avec un objectif de 21,5 milliards de dollars, un partenariat mondial a été lancé lors de l'ouverture de la COP16 à Riyad en Arabie saoudite le lundi 02 décembre 2024
Un documentaire de
Agence Presse Radio
Mise en ligne
04 Décembre 2024
Réalisation
Agence Presse Radio
Mise en onde & mix
Agence Presse Radio
Illustration
Agence Presse Radio
Production
Agence Presse Radio
Avec un objectif de 21,5 milliards de dollars, un partenariat mondial a été lancé lors de l'ouverture de la COP16 à Riyad en Arabie saoudite le lundi 02 décembre 2024, visant à renforcer la résilience des pays face à la sécheresse. Ce financement sera destiné à soutenir les 80 pays les plus durement touchés par ce phénomène à travers le monde.
Ecoutons Monugwei Mateza, agriculteur tanzanien qui se dit satisfait de cette rencontre en terre saoudienne.
Parallèlement, le Fonds international de développement agricole (FIDA) a lancé un appel pour accroître les ressources nécessaires à renforcer la résilience des communautés agricoles face aux enjeux climatiques.
Depuis lundi, la capitale saoudienne est le cœur des négociations mondiales sur la désertification, un phénomène qui affecte un tiers des terres émergées et entraîne des conséquences dévastatrices pour les petits agriculteurs.
Les 500 millions de petites exploitations agricoles, qui sont les plus vulnérables au changement climatique, subissent de plein fouet les impacts de ces phénomènes extrêmes.
Alvaro Lario, président du fonds mondial de transformation de l'agriculture, des économies rurales et des systèmes alimentaires (FIDA), rappelle que les agriculteurs, souvent issus de milieux défavorisés, ont besoin d’investissements urgents pour garantir la sécurité alimentaire mondiale.
On l’écoute
La faible pluviométrie a conduit à la perte totale des récoltes pour au moins 40 % des agriculteurs, en raison de la sécheresse associée à El Niño, l'une des pires de ces 40 dernières années. Nombre de ces petits exploitants, qui dépendent de l’agriculture pluviale, se retrouvent particulièrement exposés à ces conditions climatiques extrêmes.
Texte et voix : Silvere BOSSIE
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