Le 5 novembre 2024 avait lieu la présidentielle aux Etats-Unis d’Amérique. Donald Trump faisait face à Kamala Harris pour le 47^e occupant de la Maison Blanche.  Dans le même temps, une rocambolesque affaire de sextapes en Guinée équatoriale est venue détourner les regards qui étaient rivés sur Trump et Harris : le phénomène nommé Baltazar.

 En effet, Baltasar Ebang Engonga, l’homme aux 400 femmes est un homme politique important en Guinée équatoriale et un proche du président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo. Il est le fils du président de la Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (CEMAC) et neveu du président Obiang.

Au moment où le monde célébrait le retour fulgurant de Donald Trump au pouvoir chez les Yankees, cet homme aux attitudes de nymphomane vient renverser les choses. En lieu et place de parler du retour de Trump dans le Bureau ovale, internet ne parle que de Baltazar.

Pour certains internautes, il passe pour être l’homme de l’année 2024 même en tant qu’anti héros. Des femmes enceintes aux femmes de ses amis et de ses frères sans oublier celles de ministres et célébrités, Baltazar s’envoie en l’air avec toutes sans exception dans des vidéos publiées sur les réseaux sociaux.

Occulter donc ce sujet serait un crime de lèse-majesté et un raté dans la mission d’informer que nous nous sommes assignée.

Le sujet n’est pas sain, peut-être même nauséabond du point de vue moral mais   assez anecdotique et cocasse pour faire la Une des tabloïds et organes en ligne. 

Par pudeur donc, nous n’allons pas entrer dans certains détails pour préserver l’intégrités et l’honorabilité des survivantes.

Baltazar a vraiment volé la vedette à Trump qui devait être célébré comme le héros de cette fin d’année. Hélas Baltasar Ebang Engonga est passé par là avec ses coups de reins électriques à faire jaser au moins 400 femmes…et beaucoup d’internautes.

Comme le disait un ami, le Ballon d’or a été volé à Vinicius Júnior mais personne ne peut voler à Baltazar son titre…

Texte : Bounda  Ogo

Voix : Marie-Paule N’GUESSAN