Lors d’une rencontre de l’Association des femmes journalistes de Côte d’Ivoire (AFJCI), initiée par la direction générale de la radio ‘’La voix de la diaspora’’ et de l’Agence presse radio et audio (APRA), la journaliste ivoirienne Marie Laure N’Goran a annoncé à l’assemblée, son ambition de candidater à la présidence de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI).

On l’écoute

Cette annonce a été accueillie avec beaucoup de ferveur par les membres de l’AFJCI, qui ont apporté tous leurs soutiens à ce projet.

C’était le samedi 22 février 2025, à l’occasion d’un ‘’After Work’’ tenu au préau des locaux de la radio ‘’La voix de la diaspora’’, situés au quartier des 220 logements, dans la commune d’Adjamé à Abidjan.

Journaliste émérite, présentatrice du journal télévisé de 20 heures à la Radiodiffusion télévision ivoirienne 1 (RTI1), la consœur Marie Laure n’a pas manqué d’exhorter par la même occasion, tous les acteurs du milieu journalistique à s’acquitter des conditions de vote.

Ecoutons la, à ce propos

Pour la talentueuse journaliste ivoirienne, son parcours professionnel marqué d’expériences, constitue véritablement son atout pour remporter cette élection à la tête de l’UNJCI.

Elle en parle

Par ailleurs, madame Marie Laure N’Goran a souligné sa vision, qui est d’établir, ou sinon de renforcer l’union au sein des journalistes de Côte d’Ivoire.

Pour clore ses propos, Marie Laure N’Goran a appelé tous les journalistes, sans distinction, à s’aligner autour de sa candidature afin de redorer le blason de l’UNJCI.

Présente à cette occasion, madame Marylise Aimée Konan, présidente de l’AFJCI, a salué cette initiative de sa consœur. Elle a saisi l’opportunité pour rappeler que l’AFJCI, créée officiellement en 2019 et regroupant plus de 300 membres, vise à rassembler les femmes de médias, à participer à leur formation et leur promotion dans le domaine médiatique.

Notons que cet événement a réuni de nombreuses femmes et hommes de médias, qui ont passé ensemble, un véritable moment de convivialité et de partage d’idées.

Texte : Mina Tiéporogadana DEMBELE

Récit : Massi de GANHOUE