Biodiversité : Les vertébrés sont menacés

Biodiversité : Les vertébrés sont menacés
Un documentaire de Agence Presse Radio
L’ensemble des vertébrés y compris l’humain sont menacés. Mais plus encore les vertébrés sauvages (poissons, oiseaux, mammifères, amphibiens et reptiles) au plan mondial, dû à l’action des hommes.
Un documentaire de
Agence Presse Radio
Mise en ligne
13 Octobre 2022
Réalisation
Agence Presse Radio
Mise en onde & mix
Agence Presse Radio
Illustration
Agence Presse Radio
Production
Agence Presse Radio
L’ensemble des vertébrés y compris l’humain sont menacés. Mais plus encore les vertébrés sauvages (poissons, oiseaux, mammifères, amphibiens et reptiles) au plan mondial, dû à l’action des hommes.
Alors on se demande : combien faudra-t-il de cris d’alarme scientifiques de plus en plus apocalyptiques pour que l’humanité comprenne qu’en éradiquant la vie sur Terre, elle programme aussi son autodestruction ?
La destruction a grande vitesse de la biodiversité, précisément des vertébrés sauvages met en danger la vie humaine sur terre. L’homme pêche avec des navires de pêche, chasses les oiseaux ravitailler les marchés en volailles, égorges des milliers de bœufs et moutons par jour la viande sur les marchés, et tue les serpents et autres reptiles pour cultiver la terre. Oubliant que s’il n’y a plus de bœuf, la terre qu’il cultive ne produira plus par manque d’engrais naturel qui provient de la bouse des bœufs et moutons, que s’il pêche les petits poissons, qui contribuent à l’équilibre du milieu marin, l’étendue d’eau se dessèchera….
En somme, l’homme tenir compte du développement durable dans sa quête de se maintenir en vie en se nourrissant. C’est à dire se maintenir en vie, en pensant aux générations qui devront eux aussi pouvoir vivre.
Dans son dernier rapport, le WWF (Le WWF ou Fonds mondial pour la nature est une organisation non gouvernementale internationale vouée à la protection de l'environnement et au développement durable) fait état d’une dégradation encore accrue des populations de vertébrés. Or un climat stable, joue un rôle fondamental sur notre santé… Et pourtant, nous la saccageons toujours plus.
En cause, donc, les activités d’une seule espèce : Homo sapiens. Le changement d’utilisation des terres, notamment pour l’agriculture industrielle, demeure le principal facteur de perte de biodiversité, détruisant ou fragmentant les habitats naturels de nombreuses espèces. Et comme dit plus haut, viennent ensuite la surexploitation des plantes et des animaux (surpêche, braconnage…), le changement climatique, la pollution (pesticides, plastiques, etc.) et les espèces exotiques envahissantes.
L’homme détruit la nature à la recherche incontrôlée de sa pitance. Alors qu’on peut se nourrit sur cette terre sans la détruire. Si chaque planteur reboisait un espace équivalent à celui qu’il utilise pour son champ, chaque chasseur élevait ce qu’il va chasser, chaque pêcheur élevait ce qu’il pêche etc. la nature se régénérait et les générations futures trouveraient la nature dans la forme naturelle.
Texte : SACRE Abel
Voix : Roxane KONAN
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