CULTURE / Miss Univers 2025 : à 48h du sacre, le juré Omar Harfouch claque la porte et dénonce une “mascarade”.

CULTURE / Miss Univers 2025 : à 48h du sacre, le juré Omar Harfouch claque la porte et dénonce une “mascarade”.

CULTURE / Miss Univers 2025 : à 48h du sacre, le juré Omar Harfouch claque la porte et dénonce une “mascarade”.

Un documentaire de Agence Presse Audio


À deux jours de la finale de Miss Univers 2025, prévue le 21 novembre à Bangkok, en Thaïlande, l’événement le plus médiatisé du monde de la beauté se retrouve secoué par un nouveau scandale.

4:25 Ecouter

Un documentaire de

Agence Presse Audio


Mise en ligne

19 Novembre 2025


Réalisation

Agence Presse Audio


Mise en onde & mix

Agence Presse Audio


Illustration

Agence Presse Audio


Production

Agence Presse Audio

À deux jours de la finale de Miss Univers 2025, prévue le 21 novembre à Bangkok, en Thaïlande, l’événement le plus médiatisé du monde de la beauté se retrouve secoué par un nouveau scandale. Cette fois, ce n’est pas une candidate mais un membre du jury qui fait exploser la poudrière. Le musicien et compositeur Omar Harfouch a annoncé, mardi 18 novembre 2025, sa démission immédiate du jury. Et ses révélations jettent une ombre sans précédent sur le concours.

Un “jury fantôme” dans les coulisses ?

Sur ses réseaux sociaux, Omar Harfouch publie une série de messages incendiaires. Il accuse l’organisation d’avoir mis en place un “jury improvisé”, composé selon lui de proches de certaines candidates, chargé de sélectionner 30 finalistes avant même les épreuves préliminaires. Autrement dit : les jeux seraient faits avant même que les 136 participantes aient défilé. L'affaire prend rapidement une ampleur mondiale, alimentée par les propos du juré démissionnaire et par le climat déjà électrique entourant cette édition.

L’organisation dément, mais le doute s’installe

Face à la controverse, l’Organisation Miss Univers (OMU) publie un communiqué ferme. Elle rejette en bloc les accusations, affirmant qu’aucun comité parallèle n’a été mandaté et que toutes les évaluations sont menées selon des protocoles “transparents, stricts et supervisés”. Mais le mal est fait : la crédibilité du concours vacille, et les internautes s’interrogent sur l’intégrité de cette édition marquée par une série de dérapages.

Des scandales en cascade depuis l’arrivée des candidates

Depuis le début du séjour en Thaïlande, les faux pas se succèdent. Le 4 novembre, à peine deux jours après l’arrivée des 126 premières participantes, un incident choque les observateurs : Nawat Itsaragrisil, membre du comité thaïlandais, se montre particulièrement virulent envers Miss Mexique, Fátima Bosch, qu’il accuse d’avoir manqué un défilé promotionnel.

Devant les autres candidates, il la traite d’“idiote” et de “débile”, déclenchant une vague d’indignation et des accusations de racisme et d’abus d’autorité. L’image du concours, déjà fragile, s’effrite un peu plus. Par ailleurs, des soupçons de connivence émergent : une candidate entretiendrait une liaison avec un membre du comité “Beyond the Crown”, alimentant les doutes sur l’impartialité du processus.

Une finale sous haute tension

Entre accusations de tricherie, humiliations publiques et dénonciation d’un système opaque, l’édition 2025 de Miss Univers vire au feuilleton explosif. Désormais, une question domine toutes les conversations : La gagnante de Miss Univers 2025 est-elle déjà choisie ? À 48 heures du couronnement, le glamour semble avoir cédé la place à une crise majeure. Et au rythme où les révélations s’enchaînent, nul ne peut prédire quel nouveau rebondissement viendra encore secouer le concours avant la grande nuit du sacre.

Texte et récit : Marie-Paule N’GUESSAN