Editorial du 17 septembre 2024 : France : la motion de destitution de Macron atterri sur la table des députés

Editorial du 17 septembre 2024 : France : la motion de destitution de Macron atterri sur la table des députés
Un documentaire de Agence Presse Radio
En effet, depuis qu’Emmanuel Macron a fait fi de la majorité relative engrangée par le Nouveau front populaire (NFP)
Un documentaire de
Agence Presse Radio
Mise en ligne
18 Septembre 2024
Réalisation
Agence Presse Radio
Mise en onde & mix
Agence Presse Radio
Illustration
Agence Presse Radio
Production
Agence Presse Radio
Editorial du 17 septembre 2024 : France : la motion de destitution de Macron atterri sur la table des députés
Depuis la cinquième république, soit le 4 octobre 1958, aucune motion de destitution d’un président français n’a atteint ce niveau, on ne peut plus important.
En effet, depuis qu’Emmanuel Macron a fait fi de la majorité relative engrangée par le Nouveau front populaire (NFP) lors des municipales anticipées, pour nommer Michel Barnier à Matignon, la gauche française a juré de demander sa destitution, le considérant comme un monarque.
Une des têtes pensantes de cette motion, de Manuel Bompard, de La France insoumise était sur une des télévisions pour expliquer la faisabilité de cette destitution
Mais vraisemblablement, certains partis émettent des réserves quant au soutien à cette destitution, notamment les Socialistes
Mais on est amené à se demander, à quoi sert un débat si on sait que la motion de passera pas ? Bompard répond
Comment alors arriver à ses fins, quand la majorité est impérative pour faire adopter cette destitution…le chef des Insoumis a réponse à tout
Selon nos confrères surplace, la proposition de destitution d’Emmanuel Macron portée par LFI franchit une étape à l’Assemblée, mais reste un texte qui a cependant peu de chances d’aboutir.
Cependant, la procédure a été validée au bureau de l’Assemblée et envoyée à la commission des Lois. Cette première étape est la première d’une longue série pour une procédure difficile à faire adopter, qui nécessiterait l’approbation de deux tiers des parlementaires de l’Assemblée et du Sénat, réunis en Haute Cour
Le 5 septembre, au terme d’une longue attente, Emmanuel Macron a finalement choisi Michel Barnier comme Premier ministre.
Texte : SACRE Abel
Voix : Silvere BOSSIEI
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