L’Union des Houphouëtistes pour la République (UHR) a rendu publique une déclaration le lundi 10 novembre 2025, exprimant sa vive préoccupation face à la résurgence de discours et de comportements jugés contraires aux fondamentaux de la nation ivoirienne : la tolérance, l’unité et la fraternité.

D’un ton résolu, l'UFR condamne avec la plus grande fermeté le déni identitaire sous toutes ses formes. Ces dérives sociétales, selon le parti, menacent directement la cohésion nationale et fragilisent l'idéal républicain, héritage précieux du Père fondateur, le président Félix Houphouët-Boigny, apôtre historique de la paix.

Parallèlement, l’Union déplore et rejette catégoriquement la spirale de violence, de vandalisme et de destruction de biens publics et privés qui vient trop souvent parasiter les périodes électorales. L’UHR insiste sur le caractère irresponsable de ces actes, qui compromettent non seulement la stabilité du pays, mais sapent également les efforts concertés en faveur du développement économique et de la prospérité de l'ensemble des Ivoiriens.

L'UHR rappelle avec douleur le coût humain des violences électorales, notamment en 2025, qui ont fait plusieurs morts selon les bilans officiels. Ce souvenir tragique doit servir de rempart absolu contre toute nouvelle dérive violente.

Face à ces menaces, l’Union des Houphouëtistes pour la République lance un appel solennel à toutes les forces vives de la nation, partis politiques, société civile, leaders religieux et jeunesse. Pour l’UHR, il est impératif de privilégier le dialogue constructif, la tolérance et le respect mutuel.

Ces valeurs sont présentées comme les seuls moyens légitimes d’expression démocratique et de participation citoyenne. Fidèle à la philosophie du président Houphouët-Boigny, l’UHR réaffirme son engagement total en faveur de l’unité nationale, de la cohésion sociale et de la prospérité partagée. Le parti conclut en soulignant sa détermination à œuvrer pour un climat de paix et de fraternité durable, assurant ainsi l’avenir de tous les fils et filles de la Côte d’Ivoire.

Texte et récit : Sam Rivers