Le secteur du vivrier est essentiellement tournée vers l'autoconsommation et l'économie de subsistance en Côte d’Ivoire. La production, rarement excédentaire, n'est destinée ni à l'industrie agroalimentaire ni à l'exportation. Elle est en grande partie auto-consommée par les paysans et la population locale.

Le vivrier englobe la vente des produits tels que le gombo, la tomate, le piment…tout ce qui rentre dans la préparation des mets locaux ivoiriens. Ici, ce sont les femmes qui gouvernent ce secteur d’activité. Nous sommes allés à leur rencontre. Au marché d’Adjamé, quelques-unes acceptent de se confier à notre dictaphone sur l’acquisition de la marchandise jusqu’à la vente.

Ces mêmes femmes parlent des prix de vente sur place

L’ethnie Gouro (ethnie du centre-ouest) domine le secteur du vivrier sans qu’on ne sache pourquoi. Les commerçantes du vivriers nous en parlent

Les commerçantes du vivriers sont aptes à la querelle pour un oui ou un non. Quelques explications 

Comme dans tout métier, il y a des difficultés et des avantages. Elles en parlent

Les clients aussi énumèrent les difficultés qu’elles rencontrent en faisant les achats.

Selon madame Kouhon Lucie Suzanne, présidente de la filière agriculture transformation et commercialisation des produits vivriers et présidente de la plateforme des femmes du secteur vivrier de Côte d’Ivoire (PFSV-CI), pour adhérer à la fédération, il faut être un groupement de femmes ou une coopérative. Elle dévoilée le nombre de membre qui est de 5000 femmes. Elle avoue que la gestion humaine n’a jamais été facile que seule la prière et l’expérience leurs permettent de s’en sortir. 

Texte : Aissatou DIALLO

Voix : Reine KOUAKOU