Santé : lutte contre les décès maternels évitables

Santé : lutte contre les décès maternels évitables
Un documentaire de Agence Presse Radio
Pour lutter contre les décès maternels évitables, Pierre Dimba, ministre de la santé, de l’hygiène publique et de la couverture maladie universelle (CMU), a encouragé les femmes et les jeunes filles de Côte d’Ivoire à la contraception et à utiliser les services de planification familiale. Cela s’est fait le lundi 24 octobre 2022,
Un documentaire de
Agence Presse Radio
Mise en ligne
25 Octobre 2022
Réalisation
Agence Presse Radio
Mise en onde & mix
Agence Presse Radio
Illustration
Agence Presse Radio
Production
Agence Presse Radio
Pour lutter contre les décès maternels évitables, Pierre Dimba, ministre de la santé, de l’hygiène publique et de la couverture maladie universelle (CMU), a encouragé les femmes et les jeunes filles de Côte d’Ivoire à la contraception et à utiliser les services de planification familiale. Cela s’est fait le lundi 24 octobre 2022, lors de la célébration décalée à Abengourou à la 16e édition de la journée mondiale de la contraception (JMC) sur le thème « intensification de l’offre des méthodes contraceptives dans un contexte de gratuité en Côte d’Ivoire ».
« Les femmes qui ont moins de grossesses à risque et moins d’accouchements à risque conservent une meilleure santé et cela confère une meilleure éducation et un bon encadrement de leur enfant », a dit le ministre Dimba. Il a expliqué aux hommes que la planification familiale à l’avantage de réduire les charges de la famille, elle permet à la femme de planifier sa famille, sa vie, de poursuivre ses études, et de chercher à conserver les meilleurs emplois. Les hommes devraient alors accepter de donner la chance à leurs enfants de développer pleinement leur potentiel à travers une bonne planification de leur naissance.
Il a rassuré que le gouvernement s’engage à poursuivre les actions pour rendre effective la gratuité de la planification familiale décidée depuis le 26 septembre 2021 dans tous les centres sanitaires et communautaires, de faire adopter dans les meilleurs délais, une loi sur la santé de la reproduction favorable à l’offre de service de planification familiale et faire passer la prévalence contraceptive de 23 % à plus de 36 % en 2030.
La contraception étant désignée, en 1994, lors de la conférence internationale du Caire sur la population et le développement, comme un droit humain fondamental pour déterminer librement et de manière responsable le nombre d’enfants, la Côte d’Ivoire s’est engagée dans un processus de développement des services de santé sexuelle et reproductive y compris la planification familiale.
Texte : KOUASSI Oumar (Stagiaire)
Voix : Roxane KONAN (Stagiaire)
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