Santé: 28 mai, célébration de la Journée mondiale de l’hygiène menstruelle.

Santé: 28 mai, célébration de la Journée mondiale de l’hygiène menstruelle.

Santé: 28 mai, célébration de la Journée mondiale de l’hygiène menstruelle.

Un documentaire de Agence Presse Radio


Chaque année dans le monde, précisément le 28 mai, l’on célèbre à travers tout le monde entier, la Journée mondiale de l’hygiène menstruelle.

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29 Mai 2024


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Agence Presse Radio


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Agence Presse Radio

Chaque année dans le monde, précisément le 28 mai, l’on célèbre à travers tout le monde entier, la Journée mondiale de l’hygiène menstruelle.

Le mardi 28 mai 2024 marque la onzième édition de la Journée mondiale de l’hygiène menstruelle lancée il y’a 10 ans par l’ONG allemande Wash United en 2014, l’objectif est de sensibiliser la communauté internationale sur l’importance d’une éducation sur l’hygiène menstruelle et de favoriser un accès aux protections.

Le choix de cette date n’a pas été fortuit car le 28e jour du mois correspond à la durée moyenne d’un cycle menstruel, et le cinquième mois de l’année fait référence à la durée moyenne des règles, cinq jours.

Le thème de cette année 2024 est «Ensemble pour un #MondeAdaptéAuxRègles»; Cette

journée vise à briser les tabous et à sensibiliser à l'importance d'une bonne hygiène menstruelle chez les femmes et en particulier les adolescentes à travers le monde.

Selon l’ONG Plan International, environ 500 millions de femmes dans le monde se trouvent dans une situation de précarité menstruelle.

En Afrique subsaharienne, une fille sur dix ne va pas à l’école pendant son cycle menstruel. Ce qui correspond à 20% de temps scolaire perdu chaque année pour elle selon l’UNESCO.

Owala Brice, engagée dans la santé menstruelle s’exprime sur le fait.

Cette journée n’est pas mise en marge en Côte d’Ivoire où chaque année, des efforts sont mobilisés pour sensibiliser et aider les jeunes femmes à gérer leur période menstruelle.

Au-delà de l’accès aux protections, les solutions à la précarité menstruelle passent aussi par l’information des jeunes filles et leur accès à des services sanitaires adaptés, notamment dans les écoles. Ce qui n’est pas toujours le cas dans certaines zones rurales reculées.

 Texte : Vianney TEMOE

Voix : Reine KOUAKOU