Santé/Cancer : le Rwanda se dote d’un centre de recherche pour former à la chirurgie mini-invasive

Santé/Cancer : le Rwanda se dote d’un centre de recherche pour former à la chirurgie mini-invasive
Un documentaire de Agence Presse Radio
Le Rwanda a inauguré l'Institut de recherche contre le cancer digestif (IRCAD), le premier Institut de recherche contre les Cancers de l'Appareil Digestif en Afrique.
Un documentaire de
Agence Presse Radio
Mise en ligne
01 Août 2024
Réalisation
Agence Presse Radio
Mise en onde & mix
Agence Presse Radio
Illustration
Agence Presse Radio
Production
Agence Presse Radio
Le Rwanda a inauguré l'Institut de recherche contre le cancer digestif (IRCAD), le premier Institut de recherche contre les Cancers de l'Appareil Digestif en Afrique.
Dans certaines régions, la population fait face à une absence médicale. Pour répondre à la demande de soins chirurgicaux, le centre du Rwanda forme des professionnels de santé de 25 pays.
Pour docteur Omeke Joseph Chigozié, chirurgien Rwandais, il s’agit d’une évolution positive pour le Rwanda et toute l’Afrique.
Des pays africains, on a encore recours à la chirurgie traditionnelle, nécessitant de longues opérations douloureuses.
Le directeur de l'IRCAD Africa, David Kamanda, explique que ce centre spécialement au service du continent africain vient, répondre à un énorme besoin en santé.
L'IRCAD forme les professionnels à la chirurgie mini-invasive (permettent, grâce à de petites incisions, de traiter certaines pathologies cardiaques). Une technologie médicale moderne minimisant la douleur et les traumatismes subis par les patients, ce qui permet de raccourcir les périodes d'hospitalisation, de réduire les risques d'hémorragie et d'accélérer le rétablissement.
Fondé en 1994, l'IRCAD est devenu un leader mondial dans l'enseignement et la promotion de la chirurgie mini-invasive.
L'introduction de la chirurgie mini-invasive dans les pays à revenu faible et intermédiaire devrait permettre de réduire la mortalité associée à la chirurgie dans les hôpitaux où les infrastructures sanitaires sont insuffisantes.
Texte voix : Silvere BOSSIEI
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