Kadhafi, la nouvelle drogue qui fait des ravages en Côte d’Ivoire.
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Kadhafi, la nouvelle drogue qui fait des ravages en Côte d’Ivoire.
Un documentaire de Agence Presse Radio
Kadhafi, est un phénomène à la mode dans la pègre à Abidjan. Cette substance est un mélange de boisson très alcoolique (au moins 18% d’alcool) et de gélules appelée « tramadol »
Un documentaire de
Agence Presse Radio
Mise en ligne
03 Janvier 2024
Réalisation
Agence Presse Radio
Mise en onde & mix
Agence Presse Radio
Illustration
Agence Presse Radio
Production
Agence Presse Radio
Kadhafi, est un phénomène à la mode dans la pègre à Abidjan. Cette substance est un mélange de boisson très alcoolique (au moins 18% d’alcool) et de gélules appelée « tramadol ». Ce mélange toxique a de fortes conséquences sur la santé physique et mentale du consommateur.
Vu que ce phénomène tend à envenimer la jeunesse ivoirienne, nous nous sommes intéressés aux causes et raisons de sa subite apparition.
Les personnes interrogées décrivent les comportements qu’adoptent les consommateurs de Kadhafi.
Un consommateur de Kadhafi du nom d’emprunt Aziz qui s’est confié à notre confrère TV5 Afrique info explique son expérience.
Après enquête, il ressort que le phénomène Kadhafi est né après la publication d’un morceau du groupe 100 Papo, titré « Je veux wôrô mon kadhafi », qui tournait en boucle sur internet
Le commissaire Touré Mabonga , directrice de la police des stupéfiants et des drogues s’exprime au micro de notre confrère TV5 Afrique info sur les sanctions.
La consommation de la drogue de façon générale expose les consommateurs à plusieurs dangers : des tendances criminelles, des risques de surdosages, des risques d'infections, des transmissions de virus (VIH, hépatite C), des blessures ou coupures, des maladies respiratoires, et les exposent à devenir des parasites sociaux.
Le trafic de drogue est sévèrement puni de 5 à 20 ans de prison, de même que la détention et la consommation 3 à 5 ans de prison plus des amendes.
Aissatou Diallo et Korotoum Diabaté.
Voix : Silvère BOSSIEI
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