Le commerce du poisson fumé constitue pour les femmes une activité de subsistance et d’autonomisation en Côte d’Ivoire et plus particulièrement à Abidjan. Une bonne partie des femmes en tire leur autonomie financière.

Où les vendeuses de poissons fumés s’approvisionnent-elle et comment font-elle la différence entre les bons poissons de bonne qualité ou en état de putréfaction ? 

A cette question, Michelle Kouadio, vendeuse de poissons fumés au Forum des marchés d’Adjamé répond.

Elle explique également comment, elle les revend.

Comment arrivent-elles à reconnaître le poisson en bon état de celui en état de putréfaction ? Une vendeuse qui veut rester sous l’anonymat éclaire notre lanterne

Sidibé Ibrahim (élève) explique pourquoi, il préfère le poisson fumé

Une femme qui a préféré gardé l’anonymat, dit son amour pour le poisson fumé.

Selon un reportage réalisé par nos confrères de Nouvelle chaîne ivoirienne(NCI) titré ’’ les mareyeuses, les reines du poisson’’, le poisson fumé représente 2/3 de la consommation de poisson à Abidjan.

Texte : SCRE Abel et Aïssatou DIALLO

Voix : Silvere BOSSIEI